• Non, ce blog n'est pas mort.

    J'ai juste ultra pas le temps, j'y arrive pas, je me sens mal, j'ai le temps de rien...Je vais essayer de calmer le jeu pr revenir un peu par ici mais ça me parait une montagne :(

     

    A bientot j'espere !!


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  • (Attention, roman peu joyeux et bordeliquement instinctif, prévoyez un bon 15min, et allez mettre Lecture sur la vidéo qui est à la fin de cet article...)

     

    Pas vraiment la pêche en ce moment... Je m'éloigne de tout et de tout le monde. J'ai l'impression d'avoir les larmes aux yeux en permanence. Je manque à mon chéri (coup au coeur...) et je me manque à moi même...

     

    Je ne supporte plus les faussetés, les gens qui se prennent la tête pour des trucs inutiles. Quand mon copain tient absolument à avoir raison, ça m'insupporte. Quand il retourne toute la conversation pour arriver à dire que c'est de ma faute, ça m'achève. Qu'est-ce que ça peut bien faire d'avoir raison ? Est-ce que dire "Pardon si je me suis mal exprimé" ou "Bon ben je dois me tromper, alors, j'ai du oublier" c'est si dur que ça ? C'est les mecs qui sont tous comme ça, c'est un complexe d'infériorité ?

    Quand avec sa mère ils bloquent la conversation parce qu'ils se battent pendant dix minutes pour avoir raison sur "ah non, tu me l'avais pas dit! -ah si ! -ah non, je te jure que non!..." ça me saouuuule ! Mais pu*ain, y a pas d'autres priorités dans la vie que le fait d'avoir raison, ou de pouvoir dire "Je te l'avais bien dit" ?

    Ce qui me fait peur, c'est que souvent on critique exactement chez les autres, nos propres défauts... Au secours, si je suis comme ça ... ça ne me rassure pas.

     

    Avec mon chéri, on s'est pris la tête car je voyais mon copain Freud que je ne vois pas souvent, et on allait rentrer "plus tard que prévu" et ça le chafouinnait parce qu'il avait allumé le barbeuc et qu'il allait refroidir, et il m'a téléphoné pour me dire "ah mais donc tu seras pas là pour 19h30 ? je pensais aller me coucher tôt...".... je l'ai super mal pris. D'une, parce que je me sens au bout du rouleau. De deux parce que j'avais juste envie de profiter de mon meilleur copain autrement que par skype 1h le jeudi matin...

    Je prends tout mal, parce que je ne supporte plus qu'on me prenne la tête.

    Ma mère, qui lorsqu'on doit chercher un voyage pour septembre, trouve toujours une bonne excuse pour dire "ah non pas celui là", j'avais finis par conclure "maintenant, elle se débrouille, je ne cherche plus". (bon, finalement, l'affaire est reglée, ça c'est bon) et être moins bien avec ma mère, j'ai du mal =/

    Je passe à côté des bonnes choses...

    Mon chéri redouble d'efforts pour m'aider. Faire la vaisselle, faire du roller... Mais on vit dans la crasse et les cartons, et ça me met tellement mal que la vaisselle, c'est une goutte d'eau dans la montagne de bordel... (vaisselle/goutte d'eau, ah ah)

    Au taf, j'étais toute seule cette semaine, alors c'était un peu mieux niveau animation (je suis inexistante quand mon collègue est là). J'ai apprécié, mais sans plus, parce que de toute façon, j'étais pas bien.

     

    Depuis la fin de ma première histoire (de 4ans, terminée il y a 4ans maitnenant) je suis devenue SuperConnasse. Le sentiment d'avoir servi de jouet à celui que j'aimais plus que tout, d'avoir toléré bien des propos à mon égard, des pressions psychologiques... et j'étais jeune et je pensais que c'était ça la vraie vie. Et depuis la fin, l'intérieur de moi-même a décidé que ça ne se passerait plus comme ca.

    Et du coup, plus le temps passe, plus je deviens intolérante. Comme une crise d'ado. Mon chéri aujourd'hui, n'a pas le droit à l'erreur. Il a surtout pas le droit de me faire croire qu'il a le dessus sur moi =(

     

    En ce moment, j'ai envie de simplicité. J'ai envie que tout coule, que chacun s'accepte comme il est (mon chéri avec zéro mémoire, ma mere exigeante, moi perdue...) et qu'on arrête de se mettre des obligations d'horaires ou de je sais pas quoi sous pretexte qu'un barbeucue va refroidir. La vie est belle et pleine de solutions, et les imprévus, c'est ça qui fait la vraie vie.

    J'en ai marre d'aller sur Facebook, pourtant je continue. J'aurais envie de supprimer mon compte, parce qu'on croit y garder contact, et c'est tout l'inverse qui se produit. J'ai envie de vraie vie, et parrallèlement, c'est ici que j'écris... Peut-être parce que je vous sais bienveillants, et que j'ai l'impression que quelque chose nous lie plus qu'avec d'autres... parce qu'on se connait moins bien mais plus intimement ?

    J'ai plus envie de passer mon temps en voiture, j'ai plus envie de regarder les informations nous manipuler à longueur de journée.  La vie regorge de trucs à faire, pour se retrouver, pour grandir (apprendre à coudre, la musique...) et j'ai l'impression qu'on perd notre temps et nos liens avec toutes ces contraintes qui devaient nous faciliter la vie. On s'engueule sur des sujets d'actualité qui n'en sont pas vraiment, on fait du shopping en se montrant les vêtement de La redoute sur Skype, on se montre des photos numériques sur facebook. A quand remonte la derniere fois où nous avons pris le bébé d'untel dans les bras, celui qu'on voit 15 fois par jour sur facebook ? Pourquoi la passion pour le tricot qu'a Machine nous exaspère ? peut-être parce qu'on a jamais vu le résultat en vrai, qu'on a jamais partagé ces moments là.

    Tout nous donne l'impression d'y être (les travaux de la maison de Vanessa, la guerre en Turquie, la naissance du petit Hugo, l'Afrique du sud qui va être boulversée...)

     Mais non. Notre VIE à nous, elle est ici, avec les gens qu'on aime. Pas à la télé, pas derrière l'écran d'ordinateur, pas derrière une façade pour cacher qu'on va mal... Et voir mon chéri passer autant de temps sur son pc, ça me déprime. 

    Avec le déménagement, plus beaucoup de temps pour faire du sport, et mon seuil de nervosité diminue considérablement. Parler de régime, ce n'est pas le moment. J'attends la fin de la tempête pour m'y remettre et je combat les pulsions liées aux nerfs, tant bien que mal.

    Ce week end, je vais devoir jouer à celle que je ne suis pas. Une fille bien élevée, agréable et qui sourit même quand c'est pas drôle. La fille qui va bien, et pour qui tout roule. (elle a un bon boulot de fonctionnaire, et elle achète une maison, pourquoi ça n'irait pas??) Ca ne m'enchante pas, mais apres, dernière ligne droite avant de voir mes parents qui me manquent terriblement, je ne les ai pas vu depuis genre un mois et demi, et j'ai l'impression que ça fait 6mois.

    Encore une fois, ce moment sera perturbé par des contraintes : un concert important qu'on ne peut pas rater, et des rtt qui ne sont pas extensibles, et 4h30 de route, etc... Il va falloir profiter comme on peut. Profiter en vitesse, quoi.

     

    M'enfin... En attendant, j'essaie de respirer, de me retrouver moi-même, de retrouver ma Nature, mon innocence.... 

    ...Et d'amortir le choc....

     

     

    (Xavier Rudd est devenu mon Maître Xanax)

     

     


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  •  J'ai repassé la barre des 90 ce matin, avec 90,2.

    Je me sens coupable mais pa déprimée parce que je fais n'importe quoi donc il fallait bien que ça arrive. Quand on est malade, on ne guérit pas comme ça!

    La veille de partir en vacances en Belgique, c'est mal venu (si tant est qu'il y a un moment propice^^). Du coup, aujourd'hui, reprise du carnet où je note tout ce que je mange, ca m'évitera déjà tous les grignotages (un peu trop de gens fêtent leur anniversaire en salle de pause, en ce moment !).

    Bonne vacances, week-end, ponts .... :)


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  • Le titre de cet article, en peu en écho à A. parcequ'on a tous des passages à vide.

    Bon alors, moi ça va, rien de bien méchant, enfin je n'ai pas de gros problème de famille, je n'ai pas plusieurs enfants à gérer en plus de ma vie perso, etc...

     

    Mais quand même, y a desfois où ça va pas. En ce moment, je me sens "seule" ( Attention, délire d'ado inside)

    Disons que je me donne beaucoup pour ces kilos de meeeeeeeeeeeeeeeee*de et que j'ai du mal à trouver du temps pour m'évader... Parce qu'il faut faire une heure de sport par jour (déjà comme ça, il ne se passe rien alors sinon...), parce qu'il faut enchainer sur la vaisselle de la veille, parce qu'il faut aussi faire le ménage dans la maison, il faut préparer les listes de courses, il faut faire tout un tas de petites choses que je suis seule à faire (le lit, les poubelles, le tri sélectif.... des bricoles qui prennent 10sec quand on les fait au quotidien, et qui prennent une éternité quand tu les fais pour deux une fois par jour).

    Et donc, quand je commence a 11h ou midi, je passe mes matinées à faire du sport (seule) et à faire le ménage (seule). Si je veux aller promener mon chien, il faut que je fasse l'impasse sur quelques autres trucs, si je veux avancer sur mes projets (tuniques, violon...) idem.

     

    Alors comme je ne peux pas supporter de rentrer le soir et de voir la vaisselle dans l'évier, c'est le sport qui saute, et je sens la culpabilité toute la journée, notamment quand je remplis mes étoiles dans mon calendrier.

     

    Peut-être allez-vous me dire que je me donne du mal pour rien ? Mais c'est ma nature : j'aime pas la crasse, et j'aime pas être confrontée aux rayons remplis des magasins quand il est crucial que je n'achete pas n'importe quoi....

     

    J'aimerais tellement me lever un jour, faire mon sport, et n'avoir rien d'autre à faire. Remarque, c'est possible, si au lieu de regarder Dr House, je fais le ménage... 

    C'est malheureux, à 24ans, de se sentir bouffée par les tâches quotidiennes. Ce n'est pas comme ça que je me voyais.

     

    Je me voyais avec quelqu'un qui partagerait  ma passion pour la musique, mon besoin de propreté, mon envie de m'échapper de l'emprise informatique.... Et au final, je me sens seule. Même si c'est mon chéri et que je l'aime quand même, le quotidien est difficile.

     

    Les beaux jours vont arriver, et malgrè tout, je sais que je serai seule dehors pour jardiner, seule à avoir envie de partir faire du vélo toute la journée, seule à avoir envie de couper Tv et ordinateur... (oui, je focalise sur le pc, parce que je trouve absolument trop classes les gens qui y passent en coup de vent) Je pourrai trouver une amie qui partage tout ça. Mais j'habite en campagne, j'ai des horaires de chiotte, et j'ai pas le temps parce que j'ai le ménage à faire.

     

    Il y a cette solitude là, et puis, il y a la solitude liée au régime. C'est éprouvant car, perso, ça occupe mes pensées en permanence (le grignotage est partout), mes victoires n'appartiennent qu'à moi, personne ne peut comprendre, même pas les autres régimeuses. Et je sais que je ne suis pas non plus dans la tête de celles qui réussissent. Personne ne ressens notre culpabilité quand on a craqué, personne n'a autant envie que nous de découper les morceaux en trop avec un couteau de cuisine quand elle se regarde dans la glace et que rien ne bouge pendant des mois (c'est une image, hein). On est résolument seule, et quand on le réalise, on fini par se demander à quoi servent tous ces efforts.

    Est ce que c'est pour nous? Pour être plus à l'aise pour faire le ménage? Est ce que c'est pour lui qui va nous apercevoir quand il va lever les yeux de son pc? Est ce que c'est pour notre famille qui va pouvoir nous inviter à des grosses bouffes?

     

    Je m'étais promis de ne plus rien attendre des autres, et je vois que j'ai toujours raison d'y faire attention. Néanmoins, la vie, quand on est obligée d'être seule est difficile et parfois, comme aujourd'hui, on ne sait plus quoi faire pour s'en sortir.

     

    Vivement le retour du soleil...


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  •  

    Les temps sont durs ! Pas de motivation à se priver de tout ce qu'on aime, pas de motivation à manger ce qu'on n'aime pas. (Genre je vise personne, mais si, un peu la soupe, quand même)
    La seule motivation que j'ai, c'est le sport, mais pas évident quand t'aimes pas te secouer devant les autres et qu'il faut ABSOLUMENT que tout le monde sorte de la pièce pour que tu fasses ta Zumba tranquille. (C'est pas facile d'être psychologiquement instable)
     
    Et puis j'ai toujours pas réparé mon vélo, et j'ai toujours peur de me faire agresser si je vais courir.
     
    (on se moque pas, chacun son truc) 
     
    Et donc, le résultat est là, je frôle à nouveau la barre des 90Kg

    La déprime de l'hiver...

     

      

     Ca aide pas a se remotiver, mais faut pas lâcher!
     
    Faut penser à tout ce foie gras que tu pourras pas manger tranquilement si tu sais que tu le mérites pas.

    Ne rien manger maintenant, c'est un peu mettre de côté pour Noel.

    La déprime de l'hiver...

    Et du coup, y a du taf....

    Noel, c'est comme le jour de ton anniversaire, on n'est pas là pour manger des haricots verts et du jambon... non mais oh.
     
    J'ai des horribles envies de Pizza, de Macdo... et même de Purée/Knacki.

    (le truc qui arrive pas souvent, quoi)


    (je parle pour la purée)


     
    Donc faut garder en tête le Repas de Noël, qui devrait être plutôt ça va. (je le mettrai ici dans quelques jours) -Les chocolats offerts par ceux qui savent pas quoi t'offrir ("avec tous vos chocolats cumulés, je pourrais m'offrir une attache-remorque pour mon futur bateau, vous auriez pu vous mettre d'accord!" Et en plus, niveau régime, un bateau c'est mieux.)

    -Les restes qu'on va manger pendant une semaine, et l'enchaînement sur le nouvel an.
     
    Faut se donner à fond pour "avoir le droit" de faire la fête comme tu l'entends. Et ne pas penser "Ouai mais c'est dégueulasse, y en a qui ont le droit, sans faire d'efforts avant".
     
    Lutter pour SOI, il faut savoir ce qu'on veut, mince! (j'aurais pu dire "merde" mais "mince" est plus à propos)
     
    Enfin bref. La fin d'année est un calvère diététique pour beaucoup de monde!
     
    La vie est une fête. Le régime, un peu moins ;)


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